Envoie une lettre ( Pv George )

Une nouvelle journée qui commence , Amber se lève après une longue nuit sans rêve. Elle s'avance paresseusement jusqu'à son armoire et prend un de ses longue robes noir. Elle prend le temps de s'habiller puis 'attache les cheveux en une longue queue de cheval rousse ,laissant quelques mèches devant son visage. Elle contemple son reflet pale dans une glace quelque instant puis ,prend un morceau de parchemins ,son sac et sort de ses appartements.

Elle monte les étages et les escaliers jusqu'à la volière puis entre. le soleil est entrain de se lever , il est tôt encore ,tout le monde doit dormir. Elle s'assoit sur le rebord d'une fenêtre,tire une plume de son sac et commence à griffonner quelque mots sur son parchemin, lettre qu'elle adresse à Andros son frère.

"Rien de nouveau, mais j'en ai repérer quelque 'un.
Et toi ou en est tu ? j'espère que tu vas bien ,mais ne prend pas de risque inutile.
on se revoit à la prochaine réunion "
affectueusement Amber "

Son frère était ,actuellement, en mission pour l'ordre ,mais il était connu pour être irréfléchi et trop téméraire, Amber s'inquiétait beaucoup pour lui et lui répétait ,depuis maintenant plusieurs semaines, de faire attention à lui.

Elle plia la lettre ,la mis dans une enveloppe et appela sa chouette grise , cette dernière tendit la patte à sa maitresse et une fois la lettre fixer ,elle s'envola. Amber la regarda voler jusqu'à se que la belle chouette ne soit plus qu'un petit point,puis elle se perdit dans la contemplation du paysage ,sans se rendre compte que quelqu'un était entrée dans la volière. Elle ne réagis que quand ce quelqu'un lui adressa la parole.

La nuit avait été chaude, Georges s'était levé très tôt, au lever du soleil pour profiter de l'air frais. Il avait tout d'abord penser à se rendre au parc, mais il avait finallement choisit la volière, il en profiterait pour envoyer une lettre à sa mère. Il sortit du dortoir des Gryffondor sans bruit, puis entreprit de passer par un des passage secrets du cachot afin d'arrive plus rapidement à la tour ouest. Une fois en bas de la tour, il entama l'interminable escalier menant à la volière, il entra sans bruit et aperçu quelqu'un, un professeur... C'était une femme, elle écrivait une lettre. Essayant sans succès de se souvenir son nom ou la matière qu'elle enseignait il la salua :

- Bonjour, professeur.

Ca lui revenait à présent ! C'était le professeur d'Astronomie, madame Céleste ! Voyant qu'elle mettait du temps à répondre, Georges sortit un parchemin vierge de sa poche et une plume. Il se mit à rédiger sa lettre :

"Maman, nous somme tous à Poudlard et nous allons bien, j'éspère que ça va à la maison pour toi et Papa. Ne t'en fais pas, Fred et moi n'avons pas eu beaucoup d'heures de retenue, ces temps-ci, ça me manquerait presque...
Je t'embrasse, George.

P.S. : J'éspère que Papa ne fais pas trop de trucs bizarre avec ses objets Moldus. "

Une fois sa lettre achevé, George appella l'un des hiboux de l'école, lui attacha la lettre à la patte et l'amena près de la fenêtre.

Amber attendit ,poliment, que George Weasley est terminer d'écrire sa lettre, la donne à son hiboux et le fasse s'envoler avec le message avant de répondre.

- Bonjour Mr Weasley, que faites vous debout à une heure pareil ?

Même si la réponse que le jeune Griffondor allait lui fournir ne l'intéressait pas ,en effet il y avait de quoi se poser des questions ,les cours ne commençaient pas avant deux heures et la plupart des élèves étaient encore dans leurs lit à dormir tranquillement. Heureusement pour lui qu'il n'avait pas croiser Rusard, sinon au lieu être à la volière il serait entrain de copier des lignes. Elle aurait pu lui enlever des points et lui mettre une retenue pour être ici hors des heures autorisées ,mais elle n'en avait pas envie. Et puis ,elle ,elle était bien debout ,elle n'avait rien à dire , et n'aimait pas trop faire des excès d'autorité sur les élèves quelque soit la maison dans laquelle ils étaient.

Attendant sa réponse, elle replongea dans ses rêveries et dans la contemplation de paysage qui s'offrait à elle.